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Emilie Holmes

solo entre arbres et clocher

« Il y a deux sortes de femmes. La femme-bibelot

que l'on peut manier, manipuler, embrasser du regard, et qui est l'ornement d'une vie d'homme. Et la femme-paysage.

Celle-là, on la visite, on s'y engage, on risque de s'y perdre. »

(Michel Tournier)

improvisations dans le jardin du presbytère

édition 2020

Emily Holmes est diplômée d’un master en Etudes Théâtrales et formée en danse contemporaine aux RIDC. Elle exerce également comme danse-thérapeute. Son rapport à la danse vient d’une écoute sensible des corps, axée sur une approche sensorielle, qui chemine dans son intériorité avant de se déployer et d’être offerte à l’environnement extérieur. Touche à tout, éclectique, elle puise son inspiration dans tout ce qui attise sa curiosité : performances en espace public, musique, littérature, cultures urbaines, butō, arts plastiques, percussions corporelles, sujets d’actualité, photographie… Elle a performé récemment dans deux festivals Le Tribunal des Animaux pour la chorégraphe Catherine Baÿ, à Bordeaux et Auteuil sur Oise, ainsi que pour Tsuneko Taniuchi au Générateur, dans Micro-Evènement N°51, et travaille à développer Naïades, performance transdisciplinaire mêlant danse, musique expérimentale et création vidéo, en collaboration avec trois autres artistes, avec le soutien du Centre d’art Contemporain d’Alfortville ; à l’occasion des Journées Journiac, elle présente également (Il y a quelqu’un ?) Au bout du fil , une performance dansée alliant écriture sonore et textuelle à la Galerie Michel Journiac, à l’issue de deux semaines de résidence avec le LAP (Laboratoire des arts de la performance), qu’elle a intégré fin 2019.

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